Lunéville, on y vient et revient pour quelques instants intemporels, sans jamais être déçus.
Si les après-midi dominicaux sont généralement assez calmes dans la cité cavalière, le parc du château regorge parfois de centres d'intérêt et d'animations. C'était le cas ce dimanche 7 août où l'on pouvait écouter une chanteuse au kiosque à musique, voir des danseurs de menuets en costume du 18ème, de drôles de cyclistes en cours de tournage, des enfants se prenant pour de guerriers cavaliers, assister à un concert dans la chapelle, voir une démonstration de broderie au point de Lunéville, voir une exposition de faïences art nouveau, une autre de costumes haute couture, encore une de photos de chevaux, d'autres trucs bizarres... On pouvait aussi tout simplement contempler les jets d'eau, les fleurs et les statues….
(Heu... qui est-ce ?)
Lunéville, on y vient et revient pour quelques instants intemporels, sans jamais être déçus.
Ce jour là, il y avait aussi un concert dans l'église Saint Jacques et j'ai découvert le charmant jardin de l'abbé agrémenté cet été d'œuvres "fil de fer" de Claudine Meyer.
Lunéville, on y vient et revient pour quelques instants intemporels, sans jamais être déçus.