Paintball

Publié le 21 août 2011 par Olivier Walmacq

genre: action, survival (interdit aux - 12 ans)
année: 2009
durée: 1h25

l'histoire: Afin de prouver qui est le meilleur joueur au monde de paintball, les plus forts d'entre eux se sont réunis sur un terrain clandestin. Deux équipes s'affrontent tout en devant rejoindre un point de ralliement. Or, l'un des joueurs reçoit une balle réelle. Chacun va devoir alors sauver sa peau pour survivre.

la critique d'Alice In Oliver:

Je dois le reconnaître: après avoir vu la chronique de Fred Tarantino sur son excellent blog (http://cinema81.canalblog.com/), ce Paintball avait attiré ma curiosité de nanardeur infâme, toujours prêt à vous proposer les pires chiures improbables sur ce site. C'est donc avec un intérêt somme toute assez limité que j'ai regardé ce film espagnol, réalisé par Daniel Benmayor, et sorti directement en 2009.

Je m'attendais à une bouse sans nom, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Oui, Paintball est bien la diarrhée annoncée.
Déjà, rien que le synopsis a tout pour faire fuir les plus avertis d'entre vous. Les meilleurs joueurs de paintball du monde sont donc réunis sur un terrain clandestin.
Le but étant d'élire le meilleur d'entre eux et de sélectionner une classe de participants hors pairs.

Une partie de chasse s'organise alors dans une forêt (qui est par ailleurs l'unique décor du film !). Inutile alors de préciser que Paintball n'a pas dû coûter très cher à produire. Mais évidemment, la partie tourne au cauchemar lorsque l'un des joueurs se fait tirer à balle réelle !
Là, c'est le début d'un long survival nanardeux.

Rien ne vient sauver Paintball de ce qu'il est: une chiure absolue, un étron flotteur et une merde sans nom ! Le pire, c'est que le film de Daniel Benmayor se prend très au sérieux. Rapidement, un tueur masqué et muni d'une vision thermique (tout comme le Predator dans... euh... Predator !) se veut menaçant et tue nos participants ahuris un par un. Ce qui donne lieu à quelques séquences sanglantes toujours nauséabondes et vulgaires.
Un film mauvais jusqu'au plus profond des poils de couilles !

Note: