Je ne suis pourtant pas seul à lever les yeux sur l'unique importance,

Publié le 21 août 2011 par Christian Cottet-Emard

le goût de l'air et ses couleurs, les formes qu'il chérit. Et l'on nous taxe de rêveurs, moi l'incurable des nuages, nous, inconsolables de la terre !

Qui reconnaître ? Vous que les dortoirs, les guichets, les pointeuses et les stades n'ont pas encore avalés...

Oui, vous, les rescapés du mauvais rêve ! On vous parle !

(Extrait de mon recueil L’Alerte joyeuse, éditions Orage-Lagune-Express, 1997.)