Le Fonds souverain du Qatar a discrètement ce weekend pris une participation de l'ordre de deux fois 3 milliards de dollars dans le capital-actions du Credit Suisse … entre Singapour et les émirs, ils sont plutôt futés quans ils utilisent leur tirelire.
Et nos "bons" managers peuvent respirer plus calmement, ils savent que des actionnaires dits de référence ne les laisseront pas tomber. Certes, mais ils risquent aussi de les faire valser nettement plus qu'à l'accoutumée.
On vit un peu Tintin au Congo à l'envers ces temps, et cette fois-ci encore, la dépanneuse Simoun est plus que nécessaire.