Les conséquences sur la santé du bruit nocturne du trafic aérien fait régulièrement l’objet d’études poussées pour être en mesure de répondre aux associations de défense des riverains des grands aéroports.
Plus récemment, des chercheurs de l’Impérial collège de Londres, en association avec divers instituts européens, en enregistrant la tension de 140 volontaires toutes les 15 minutes pendant leur sommeil, à leur domicile près de divers aéroports européens, ont constaté une augmentation de leur tension artérielle, qui ne les réveille pas.
Ils ont constaté que c’est le niveau de décibel qui importe et non pas l’origine du bruit, alors que la pression artérielle s élevait de façon notable lors de l’augmentation du niveau sonore de 35 décibels, ce qui correspond au survol d’un avion, d’un trafic de voitures à proximité mais aussi … au ronflement d’un voisin de lit.