Je suis à la bourre de lecture de billet pour cause de prise d'otage à l'étranger mais comme Guy Birenbaum, l'initiative d'envoyer un message fort aux marchés est plus que jamais nécessaire, ne serait-ce que pour sauver nos ultra-riches.
Cet appel a été relayé par toute la blogosphère, j'y apporte ma modeste contribution.
Alors pour reprendre une vieille expression footballistique des années 90 sur le net, je dis aux marchés: "Mes couilles sur ton nez".
Parce que voilà, c'est tout.