Tuer le père d'Amélie Nothomb (Albin Michel), je la suis depuis ses débuts, je ne peux donc pas manquer son nouvel opus (je me lance dès que j'ai terminé Les Amants de Francfort).
Les souvenirs de David Foenkinos (Gallimard). J'ai lu cet été La délicatesse du même auteur que j'ai trouvé très bien et j'ai envie de poursuivre avec cette méditation sur la famille.
Premier bilan après l'apocalypse de Frédéric Beigbeder (Grasset). Ce n'est pas un roman mais le récit des livres aimés par le trublion des lettres. Et comme je ne le trouve jamais meilleur que dans la critique littéraire…
Côté romans étrangers, j'aimerais lire Freedom de Jonathan Franzen (Editions de l'Olivier). C'est une grosse brique sur l'Amérique désenchantée d'aujourd'hui et même s'il n'est pas facile de rentrer dedans, la critique est dithyrambique.
Enfin, Une femme fuyant l'annonce, David Grossman (Seuil). Ce merveilleux écrivain israélien, qui a perdu son fils lors de la deuxième guerre du Liban, évoque ce sujet poignant d'une façon détournée.
Ce sera tout pour le moment. Bonne rentrée et bonne lecture!