Rencontres au sommet sans intérêt.
Sommets sans suites. Sans vision concrète. Déclarations. Bonnes intentions.
Calculs vides. Courbettes et autres déjeuners de travail sans suite.
On n’a jamais gagné la guerre ainsi.
Or les généraux d’opérettes qui se montrent aux balcons ces temps n’ont pas encore réalisé que les marchés leur faisaient la guerre. Ils ont tellement peur pour la suite de leur carrière, les pauvres chéri(e)s.
Le moment de réaliser aussi qu’en temps de guerre, les règles démocratiques et leurs lenteurs ne sont pas applicables sans autre.
Le droit d’urgence doit l’être au nom de la survie des peuples et surtout d’une certaine cohésion sociale minimale.
Et ce n’est qu’une fois la guerre contre les marchés définitivement gagnée que le politique pourra redessiner avec une certaine autorité et plus d’ouverture et de prise en compte des intérêts des populations un système qui n’y apporte actuellement aucune attention mais que du mépris.