Le sel rose de l'Himalaya est fort à la mode et quasi-obligatoire chez les sous-bobos incultes qui en foutent partout. autrefois, son commerce était le fait de nomades, de caravaniers. Il suivait la route de la soie. Ca se fait encore. mais les chinois le transportent par camions. c'est dire que ce sel est devenu un produit d'industrie et qu'il y a maintenant une exploitation plus rentable avec des ouvriers. Bref, on en revient aux mines de sel.
Autrefois, et dès Rome, ce travail dur et pénible, abrégeant considérablement la vie était fait par des esclaves. c'est encore le cas en Mauritanie mais toout le monde s'en fout: l'esclavage actuel n'attire pas les militants des Droits de l'homme (sauf moi qui trouve urgent d'agir!). Il serait bon de savoir quelles sont les conditions de travail dans les mines de sel de l'Himalaya dirigées par les Chinois.
En France, à Varangeville (voir: http://tchorski.morkitu.org/5/varangeville-01.htm), une mone de sel (non-alimentaire) tourne;Les ouvriers ont des pauses nécessaires car on ne peut pas tenir si longtemps que çe. qu'en est-il ailleurs?