A l'heure où la ligue antialcoolique songe à utiliser Nicolas Hulot pour fustiger le danger d’un petit verre de trop, rendons hommage à EVA JOLY ! Eva Joly ce symbole de la terre sèche dont on dit : "Si l’écologie avait un visage humain elle aurait les fesses d’Eva Joly" Cette rage piétinante, ce courroux statique, et ce coup de menton vibrionnant qui atteste, d’un mouvement de tête, que chez elle, même la lunette est rebelle on ne les retrouve que chez le coiffeur pour dames. Coiffeur pour dames dont elle a adopté la coupe de cheveux originale et ridicule, la possibilité de marcher des heures sur place et cette façon de vous demander si ça va en espérant que vous allez répondre non pour qu’elle puisse vous consoler en dissertant pendant des heures sur les malheurs du monde tout en coupant les cheveux en quatre. Elle est pour l’écosystème ce que le bouclier fiscal était au capitaliste : Une protection qu’il n’avait pas demandé mais qu’il appréciait quand même ! Ainsi, vaille que vaille, l’écologie défend la planète comme le petit commerçant défend son fonds de commerce. Avec un regard de chien battu nostalgique et un sourire crispé qui veut cacher sans y parvenir qu’il t’aime bien parce que tu viens chez lui mais qu’il te déteste parce qu’il sait parfaitement que si tu en avais la possibilité tu te précipiterais en courant dans le premier supermarché venu ! Mais revenons à nos écologistes... Pardon, à nos moutons ! La limite des ressources a toujours été pour eux une ressource illimitée du coup, allons-y dit-elle, et puisque le patron aspire les matières premières en mangeant du caviar de chez Fauchon, nourrissions nous des malheurs de la planète en suçant des carottes bio. Sacrée Eva !