Et voici que le plus célèbre des détenus valaisans remet la compresse pour une histoire de décompte de jours de tôle.
Franchement, à trop vouloir utiliser ce moyen de la grève de la faim, on finit par perdre toute crédibilité.
Même si les gugusses du Service pénitentiaire valaisan ne sont de loin pas des Prix Nobel de calcul (et autre matière), faut pas pousser.
Ou plutôt, faudrait pas mélanger toutes les causes.