OK les mecs sont mignons, mais ça ne suffit pas…
Je ne comprends pas le phénomène True Blood. Ce n’est pas faute d’avoir essayé. Après une tentative avortée il y a quelques temps de cela ( je n’étais pas parvenue à venir à bout du premier épisode), j’ai voulu redonner une chance à Sookie et sa bande. Autant je suis obligée d’avouer que je regarde un paquet de merdes, autant là, ça ne prend pas du tout. Ca fait 8 épisodes que je lutte et que je me dis ça va s’améliorer. Mais non ! La série est peut être bandante pour certains (autant de cul dans cette série que de fromage dans une fondue savoyarde), mais je m’ ennuie ferme! Maintenant, si quelqu’un peut me dire ce qu’il aime précisément dans cette série (les acteurs ? le cul ? le scénar ? mais quel scénar?) peut être que je parviendrais enfin à ouvrir mes chakras…
En attendant, je me repasse les 5 saisons de Sliders. Tout en sachant que je n’ai jamais vu la fin de cette série… mais quelle importance, la saison 5 ne compte même plus Quinn Mallory dans ses effectifs. Sliders sans Quinn c’est un peu comme… Code Quantum sans Sam Beckett. C’est incroyable, mais seuls les ados des années 90 comprendront cette nostalgie… alors que les filles fantasmaient sur Jerry O’Connell et les garçons sur Sabrina Lloyd… En tous cas, c’est toujours avec autant de plaisir que je redécouvre l’exploration des mondes parallèles par les sliders, avec cette petite lueur dans les yeux quand le générique démarre :
Tiens, j’ai aussi appris en surfouillant que Jerry O’Connell était marié à Rebecca Romijn (Ex de John Stamos, oncle Jesse dans La fête à la maison et Carl, le dentiste dans Glee). Cute !
Bon maintenant, j’attends la rentrée avec vraiment d’impatience. J’ai testé deux/trois trucs cet été qui ne m’ont pas vraiment convaincue, même Pretty Little Liars commence à s’essoufler (trop de suspens tue le suspens…). Quoique j’avais pas mal accroché sur l’originalité du pitch de Switched at birth, mais c’est retombé au bout du 5ème épisode. Comme ça. Ne parlons pas de The Nine Lives of Chloe King. Au secours, vis ma vie Cat Woman version Angela 15 ans. Seul Love Bites m’avait bien plu. Ca se regarde comme on mangerait des monster munch. Chaque épisode était constitué d’un tryptique avec des protagonistes récurrents et des guests. Des tranches de vie sur l’amour, le couple, les rencontres. Le ton était léger. C’est ça que j’aimais dans cette série : sa légéreté. Conclusion. La mini-série s’arrête au bout 8 épisodes !! Je ne te raconte pas la frustration… Et le trailer de la série qui date d’il y a un an ne correspond même pas à la version diffusée ! L’une des actrices du premier volet a été remplacée… ce qui n’est pas plus mal.
Bon c’est encore loin, genre loin comme janvier 2012, mais j’ai quand même hâte de voir la nouvelle série avec… James Van Der Beek, Apartment 23. Non ? ça ne vous excite pas de revoir Dawson à la télé ?