C’est une image de la façon dont on cousait le bijou à même le corselet de la robe de cour - du moins sa partie "rubans", au XVIIIème siècle, qui m’a donné envie de relire cette aventure de Blake et Mortimer parue en 1962. Car jusqu’ici, je m’étais toujours demandée comment on pouvait mettre au cou un tel bazar (2 840 carats) !
Et puis, pour moi, il n’est pas de vacances sans relecture de mes classiques : Tintin, Blake et Mortimer.
Sinon, égal à lui-même, le méchant mais malin Olrik, qui réussit toujours à filer entre les doigts de ses poursuivants, suité de son second Starkey, brute épaisse que l’on retrouve dans Le secret de la grande pyramide, le meilleur, selon moi, avec La marque jaune des épisodes des Blake et Mortimer.
Sans faire de la psychologie de pacotille, on ne manque pas non plus de retrouver nos héros aux prises avec les difficultés de souterrains, tout comme dans maintes autres histoires se déroulant en Normandie, aux Açores, en Egypte…Un vrai bonheur chaque année renouvelé !