C’est fou comme on s’attache rapidement à un animal de compagnie. Surtout à un chat. Phobos va souffler ses dix-sept bougies. Il roule plus qu’il ne marche mais me regarde toujours de la même façon. Ses grands yeux dorés sont rassurants. Lorsque j’écris, il monte sur mon bureau et joue avec mes crayons. Lorsque je lis, il se met sur mes genoux et lance le moteur à ronrons. Anthropomorphisme oblige, on est persuadé de tisser un lien unique avec l’animal. Samantdi en sait quelque chose avec sa Nini. Lorsque Nono a souhaité accueillir Sushi il y a un peu plus d’un an, il s’est engagé pour de longues années de complicité. Il ne regrette certainement pas son choix. Lorsqu’il part en vacances, Snooze et moi-même accueillons avec plaisir Sushi à la maison. (more…)