Et de trois, après Super 8 et Green Lantern voici La Planète des singes : les origines, un film réalisé par Rupert Wyatt . Dans cette avalanche de film, quelle est la place de ce dernier ?
Dix ans après la dernière adaptation au cinéma du roman de Pierre Boude par Tim Burton, les couverts sont remis, mais cette fois si se sont sur les origines de la planète que s’axe le scénario du film. D’ailleurs ce-dernier est au dessus de son prédécesseur. Pour faire court il met en scène César, un singe plus intelligent que ses congénères. Il doit cette particularitée à sa mère, qui à était modifié par un virus intitulé 112, ce dernier est censé guérir l’être humain de la maladie d’Alzheimer. L’histoire ce divise en deux parties, la première ou on suit l’évolution de César, et la seconde ou on est témoin de sa rébellion face à l’espèce humaine.
Ce qu’on remarque en premier c’est la qualitée visuelle du film, surtout sur l’apparence des singes, qui pour le coup sont vraiment très convaincant, même si je trouve leurs visages un peu trop humanisés, mais bon après tout c’est des singes donc sa parais on ne peut plus normal . Cette qualité on la doit au studio WETA, celui la même qui à réaliser les effet spéciaux pour Avatar . D’ailleurs en parlant d’effet spéciaux ne vous attendez pas à des explosions en continus, comme peu le laisser penser la bande d’annonce. Il y en à quelques un certes, mais on est très loin d’un film d’action. Non ici les effets spéciaux servent à illustrer la narration qui entoure les singes.
Du coté du casting on retrouve James Franco (127 heures, Spiderman) ainsi que John Lithgow (Dexter, hom i meet your mother), du moins pour ce que je connais. Mais pour être honnête le vrai jeu d’acteur et celui des singes, servi par l’excellente motion capture de Andy Serkis (gollum). Il faut dire que c’est eux qu’on voit principalement à l’écran surtout dans la deuxième partie du film. De ce fait certaines personnes pourront trouver certains passages monotones, tandis que d’autres seront absorber par ce qui ce passe à l’écran. Malgré tout le film se suis sans problème. Il essaye de nous faire passer un message en nous montrant des hommes qui veulent tous contrôler comme le démontre la mise en place du virus 112 censé guérir l’homme, mais qui bouleverse les lois de la nature, ou encore le premier vol sur Mars, qui reviens souvent dans le film.
Un bon film, une belle prouesse technique, et une histoire intéressante, voilà ce qu’est La planète des singes : les origines. Un film qu’on prendra sans doute encore plaisir à re-regarder dans les prochaines années. Pour moi le seul regret est que la fin nous laisse justement sur notre faim, mais hormis sa c’est du tout bon.
[Critique] Planète des singes : les origines . is a post from: Snoufle Box