Hier, il y a 50 ans, le mur de Berlin devient la ligne de séparation entre deux idéologies.
Depuis, l’une des deux a chuté par suffocation de son économie. Sa mort a permis à l’autre de se ressaisir momentanément, le temps de quelques décennies. À son tour, par cupidité, triomphalisme et nonchalance, la seconde est tombée malade… de ses propres excès.
Sans limite et repère, la nature humaine est source du chaos. Avoir de la vision ne sauve cependant pas le monde de ses désastres, mais la version permet néanmoins de restaurer des repères égarés, réactualiser les valeurs humaines et éviter la panique à la demeure, le brouhaha du dénie au sommet social et le chahut initiatique de la foule, trop éphémère, manque de retenu… qui, ma foi, demeure cependant la seul force du changement initiateur. Paradoxe de toujours.
Trois images, une séquence d’un monde changeant. Le mur de Berlin.