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Leh, 14 août 1993

Publié le 14 août 2011 par Safran

Leh, 14 août 1993

Entrée du monastère d'Alchi


Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993


Leh, 14 août 1993

Moulins à prières


Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993

Vivent les monastères du Ladakh ! 
D’abord Alchi en plein milieu d’un village où la récolte d’orge bat son plein. Les scènes de vie rurale sont empreintes d’une grande beauté : les femmes armées de fourches vannent dans le vent, les bœufs piétinent la paille en tournant inlassablement, l’homme excite les animaux en chantant. Du coup, le monastère me paraît moins important.

Direction Rizong. Les deux derniers kilomètres se font à pied par un petit chemin, d’abord ombragé, qui longe les vergers d’abricotiers, puis qui grimpe dans un chaos rocheux et minéral. Soudain, c’est une apparition presque féerique après un ultime tournant, celle d’un monastère accroché le long des parois d’un cirque montagneux.
Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993
Leh, 14 août 1993

Les habitations des moines et les bâtiments principaux forment un écran blanc et pourpre devant nous. Quelle récompense après une montée rendue pénible par l’altitude et la chaleur. À nos âges, ma bonne dame. Toujours aussi prêts à nous faire découvrir les trésors de leur monastère, les lamas nous ouvrent une à une les portes fermées par d’impressionnants cadenas.
Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993

Chemin d'accès vu du monastère


Leh, 14 août 1993

Pierre de mani sur le chemin



Le dernier monastère, Likir, est situé sur une hauteur au fond d’une vallée plantée d’orge en terrasses, où s’élèvent quelques chortens blancs ; au loin se découpent des cimes enneigées. C’est trop beau !

Leh, 14 août 1993

Monastère de Likir


Leh, 14 août 1993

Stupa peu avant le monastère qu'un pèlerin est en train de contourné


Leh, 14 août 1993

Champs d'orge


Leh, 14 août 1993

Vallée vue depuis le monastère


Leh, 14 août 1993

Leh, 14 août 1993

Travaux sur la terrasse d'un bâtiment annexe


Leh, 14 août 1993
Leh, 14 août 1993


Belle journée non ? Mais aussi dure journée, surtout en taxi ! Sur la route étroite, les camions et les bus ne cèdent pas un pouce de terrain. Le taxi doit se rabattre sur le bas-côté souvent inexistant, ou même s’arrêter. Les convois militaires, encore eux, s’arrêtent sur la route à l’heure du repas. Si l’on peut passer, tant mieux ; sinon, il faut attendre.Ajoutez les fumées noires des gaz d’échappement et la poussière soulevée par les roues et le vent.

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