Mon exécration des courses de taureaux s’est étendue petit à petit jusqu’à ceux qui les fréquentent.
L’idée que des hommes peuvent prendre de l’amusement, les uns à tâcher de rendre féroces des animaux qui ne l’étaient pas, les autres à voir agoniser des chevaux éventrés, recousus puis éventrés une deuxième fois, me fait envelopper les seconds du même dégoût que m'inspirent les premiers.
Georges Courteline