Je vous prie de retrouver ci-après l'intervention de Jean Sarkozy qui arrangue une petite foule de sympathisants au futur ex-candidat de l'UMP à l'élection
municipale de Neuilly-sur-Seine, pour ne pas le citer Arnaud Teullé, lequel après l'éviction sans façon de David Martinon, sera également écarté par les caciques de l'UMP lesquels préfèrent
Fromantin non encarté. Certains y voient le choix de la raison. Pour le fils, Jean, il s'agit à n'en pas douter du premier épisode qui ne pourra que le conduire à la mort symbolique du père. En
attendant, le voilà contraint à se résigner devant le choix :
1. de "Nicolas" [le soutien politique de Neuilly et des neuilléens, que serait Neuilly sans Nicolas Sarkozy?],
2. du Président de la République [après avoir annoncé qu'il s'impliquerait dans la campagne des élections municipales, après avoir fait le contraire au grand soulagement des caciques locaux de
l'UMP, le Président de la République a finalement convenu de faire lui-même l'élection à Neuilly, ah que c'est beau la démocratie.Mais rassurez-vous ce n'est pas mieux àla campagne! seulement on en
parle moins],
3. du père tout puissant qui voit peut-être d'un mauvais oeil ce jeune fils louvoyer dans le traces amères de son père. Rappellons-nous que c'est là que le père a fait ses premières armes à
l'encontre d'un certain Charles Pasqua, rien que cela. Et cela on ne peut lui retirer au petit Nicolas, en politique il l'a eu dur comme on dit, et lui aura fallu marcher sur les pieds des anciens
pour se faire une place. Voilà pourquoi le père ne cédera pas si facilement aux attentes du fils. car avant tout Nicolas est un monstre politique. Et Jean n'a qu'à apprendre, et attendre ...
A suivre, sans aucun doute, car Jean le fils présente manifestement des prédispositions naturelles.
JEAN SARKOZY
by CHBOIS