Partout des enfants qui attendent le bonheur...

     Baignade

   Désinvolture d'un petit Afghan à Kaboul

 Les mains sur le visage et les yeux fermés, il se laisse tomber en arrière. En Afghanistan, cet enfant s’offre une séance de baignade dans un courant d’eau, sous le regard bienveillant d’un parent. Une façon de profiter de l’été et de se rafraichir tant bien que mal. Ici à Kaboul, la capitale, les amplitudes thermiques journalières de plus de 25 °C sont assez fréquentes. Photo : A. Masood/REUTERS Hommage - Partout sur la planète, il ne fait pas bon être un enfant en 2011...  Ce jeudi 11 août, une bougie à la main, des centaines d’Ougandais se sont rassemblés pour rendre hommage à neuf de leurs concitoyens, tués la veille. Mercredi à Masaka, la police a tiré des grenades lacrymogènes pour disperser des milliers d'opposants qui dénonçaient les prix élevés des produits alimentaires et de l'essence dans cette ville du sud-ouest du pays. Photo : J. Akena/REUTERS Sous les eaux - Sur tous les continents le désordre et la souffrance Sous les eaux - A Bago en Birmanie, de très violentes pluies se sont abattues sur la région, conduisant à la fermeture d'un grand nombre d'écoles et de l'autoroute menant aux autres villes du pays. En juillet dernier, les inondations avaient déjà détruit plus de 30 000 m² de rizières. Photo : S. Z. Tun/REUTERS Mobilisation musclée - Pas vraiment des adultes, mais plus des enfants non plus!  Des violences ont éclaté mardi à Santiago, la capitale chilienne, en marge d'une manifestation de dizaines de milliers d'étudiants réclamant de nouveau des changements dans le système d'enseignement public. Selon les policiers, des petits groupes de manifestants masqués ont incendié des véhicules et des barricades et ont brisé des vitres et des lampadaires. Ils ont aussi lancé des projectiles en direction des policiers près du palais présidentiel. C. V. Saavedra/REUTERS   
                     Les extrêmes sourient....                                     Au centre on fait la gueule!                    Les enfants du socialisme:     Père François où es tu, nous entends tu? Car nous on ne s'entend plus.....