De workaholic à alcoolique

Publié le 11 août 2011 par Pascaletfred

Le site Elle.fr met en avant une étude néo-zélandaise de l'université d'Otago. Les jeunes adultes qui travailleraient sans interruption seraient « 1,8 à 3,3 fois plus nombreux à connaître des difficultés liées à la consommation d'alcool, que ceux qui ne travaillent pas » explique Sheree Gibb, auteur de l’étude... Le lieu de travail, pour ceux qui y passent souvent plus de 50 heures serait alors considéré comme une vaste colocation, avec des rencontres et une certaine convivialité qui se traduirait par une consommation d’alcool accrue. Le même alcool servirait également aux gros travailleurs à décompresser. Henri Salvador avait définitivement raison : "Le travail c'est la santé, rien faire c'est la conserver."