Dans « La vie passera comme un rêve », Gilles Jacob raconte bien sûr les coulisses du Festival de Cannes, qu’il dirige depuis 1977.
Mais ce livre de Mémoires, qui vient de sortir en poche après un gros succès dans sa première édition chez Laffont, est aussi l’occasion d’évoquer une vie méconnue.
Celle d’un petit garçon juif qui a échappé aux camps de la mort ; d’un chef d’entreprise doublé d’un critique de cinéma (il fut longtemps les deux en même temps) devenu le grand ambassadeur français du 7e Art.
La vie passera comme un rêve de Gilles Jacob
Pocket, 472 pages, 7,90€.