Pour lui, quand la bourse perd de sa superbe, et c’est plutôt le cas ces jours, les « milliards partent en fumée ».
Raisonnement simplet et raccourci saisissant.
Par exemple ici:
Si les distingués rédacteurs de ce genre de conneries voulaient bien se donner la peine de réfléchir, ils constateraient que la bourse est assimilable à un jeu à somme nulle: en d’autres termes, le franc que Monsieur X perd, il le perd pour avoir vendu à Monsieur Y, qui lui a fait une bonne affaire, du moins sur le moment.
Il n’existe pas de perte de valeur sui generis et sans contrepartie, à la bourse du moins.