Auteur : Danielle Steel
Titre original : His Bright Light
Traduction:
Éditeur : Pocket
Publication : 2000
Nb de pages : 332
Pays de l’auteur : Etas-Unis
Lu: 2011
Quatrième de couverture
Danielle Steel, l’un des auteurs contemporains les plus lus au monde, est aussi une femme et une mère. Une mère qui a vécu le drame le plus horrible qu’il soit donné de vivre. Son fils Nick, âgé de dix-neuf ans, qui souffrait d’une psychose maniaco-dépressive, s’est suicidé après des années d’errance. Ce livre, Danielle Steel l’a écrit avec ses larmes et son sang. Pour faire revivre Nick, lui dire, une fois encore, qu’elle l’a aimé plus que tout au monde. Mais, c’est aussi pour aider ceux qui connaissent les mêmes souffrances qu’elle raconte cette histoire dont elle n’a pu, hélas, changer la fin.
Mon avis :
Cela fait de nombreuses années que ce livre est en ma possession.
Il y a quelques années, j’avais eu l’occasion de lire quelques livres de Danielle Steel. Sans mentir, j’en avais apprécié le style même si les sujets m’avaient parus toujours basés sur le même ton.
Ce livre raconte le bouleversant témoignage d’une mère se donne à fond pour trouver un moyen d’aider son fils.
Il nous permet de rentrer dans l’intimité de la famille de l’écrivain et de découvrir son fils Nick qui souffre d’une maladie encore méconnue la psychose maniaco-dépressive (Trouble bipolaire).
Un combat quotidien qui nous démontre l’importance de l’entourage.
Comme dans la plupart des ouvrages de Danielle Steel, le style est vivant, facile à lire.
Ce livre est à la fois triste et gai, mais jamais larmoyant.
Avec 54 Best-Sellers publiés en France, plus de 520 millions d’exemplaires vendus dans 40 pays et traduits en 38 langues, Danielle Steel est l’auteur contemporain le plus lu et le plus populaire au monde.
Depuis 1981, ses romans figurent systématiquement en tête des meilleures ventes du New York Times. Elle est restée sur les listes des Best – Sellers pendant 390 semaines consécutives, ce qui lui vaut d’être citée dans le Livre Guinness des Records.