Björk ‘ Cosmogony

Björk ‘ Cosmogony Sur les dix titres qui formeront Biophilia, Björk nous en délivre, déjà, un second extrait. Habituellement, je préfère attendre la sortie d’un album et ne pas écouter le ou les singles qui le précèdent. Mais l’engouement est trop grand, et j’ai fondu vers et sur « Crystalline », d’abord, puis sur « Cosmogony ».
Ce titre est de la veine de ce que l’Islandaise a pu faire sur Volta en 2007. Bien sûr, il y a une claire différence : au-delà des quatre années qui sépareront Volta de Biophilia, « Cosmogony » possède une lumière, une aura pleine d’optimisme, alors que sur Volta il aurait à coup sûr été bien plus sombre, morne.
Je vais devoir me calmer et ne plus écouter ni « Crystalline » ni « Cosmogony », qui sont deux chansons énormes. Peut-être devrais-je les effacer et aller chercher les différents remixes existants, par Serban Ghenea, Omar Souleyman ou encore Matthew Herbert, disponibles dans huit singles de 2 ou 3 titres, sous l’étiquette de The Crystalline Series. Pour ensuite mieux me délecter de Biophilia et ses dix titres, ainsi que de son packaging qui semble être très ambitieux.
Tiens, un troisième extrait est en train de se pointer, lui aussi, et je crois que c’est « Virus » (alors que « Moon » n’a pas l’air très loin derrière non plus, annoncé pour début septembre).
L’album sortira fin septembre, donc il n’y aura pas à attendre tant que cela… Enfin, sauf pour les « fanatiques » qui doivent s’empresser de pré-commander l’Ultimate edition au prix de 600 euros (!) jusqu’au 12 août. À mon avis, il n’y a pas beaucoup d’artistes qui peuvent se permettre d’en demander et d’en offrir autant à ses fans.