"Les investisseurs ont de plus en plus l'impression que l'on va au-delà de la crise financière vers un risque systémique et cela auto-entretient le vent de panique qui souffle sur les marchés", résume Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse. "Depuis quelques jours, on est dans un scénario de découragement", ajoute-t-il. Après un début de séance volatil, qui l'a même vu esquisser un rebond (+ 1 %), le marché parisien n'a cessé de dégringoler tout l'après-midi dans le sillage de la forte baisse de Wall Street. "La dégradation de la note américaine réveille les pires scénarios sur l'économie mondiale", avance Éric Edelfelt, gestionnaire d'actions chez Meeschaert Gestion privée à Paris. "On peut tout imaginer", poursuit-il, y compris "une dégradation des notes de pays de la zone euro".
"Les investisseurs ont de plus en plus l'impression que l'on va au-delà de la crise financière vers un risque systémique et cela auto-entretient le vent de panique qui souffle sur les marchés", résume Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse. "Depuis quelques jours, on est dans un scénario de découragement", ajoute-t-il. Après un début de séance volatil, qui l'a même vu esquisser un rebond (+ 1 %), le marché parisien n'a cessé de dégringoler tout l'après-midi dans le sillage de la forte baisse de Wall Street. "La dégradation de la note américaine réveille les pires scénarios sur l'économie mondiale", avance Éric Edelfelt, gestionnaire d'actions chez Meeschaert Gestion privée à Paris. "On peut tout imaginer", poursuit-il, y compris "une dégradation des notes de pays de la zone euro".