La France est effectivement la prochaine cible des marchés : son taux d’endettement atteindrait 100% de son PIB, si elle devait venir au secours de l’Italie. (The midget and the mighty)
Faute de combattants, l’Allemagne ne va-t-elle pas rester seule ? D’elle, qui ne semble vouloir ni d’obligations ni de gouvernement européens, dépend l’avenir de l’Europe ? Du monde ? Redoutable responsabilité ?
Compléments :
- Ce matin, un financier semblait dire à la BBC que les marchés ne voulaient que l’intervention de la BCE pour les rassurer quant à la pérennité de la dette européenne. Scénario à la japonaise où rien n’est réparé, mais il n’y a pas de crise pour autant ?