SOMMEIL.
Silence sur le gué des connivences
Je refuse le tribut de la parole
Les pages qui m’interpellent avec leurs accents doucereux
Aujourd’hui je préfère sombrer
Dans ce sommeil
Qu’on dit réparateur
M’adonner
Pleinement
À la réparation des lézardes et des lentes érosions
Qui défigurent ma conscience d’homme