« C’est une erreur de calcul à 2 000 milliards de dollars : dans les calculs sur lesquels l’agence de notation Standard & Poor’s s’est basée pour dégrader la note de la dette américaine, vendredi, l’agence a compté deux fois une projection de dettes de plus de 2 trillions de dollars. Une erreur reconnue indirectement par S&P’s, qui a modifié son rapport après publication. Mais a maintenu sa dégradation de la note américaine. »
On croit rêver…. Nous ne sommes donc plus dans l’estimation financière mais dans l’idéologie. Ce n’est plus le chiffre qui compte mais l’orientation politique. Reprocherait-on à Obama d’avoir voulu créer plus de justice à travers notamment un système de protection sociale qui n’existait pas qu’on ne s’y prendrait pas autrement. Les agences de notation sont donc bien des outils de la dictature des marchés et non ces structures incorruptibles aux avis fiables qu’imaginent le commun des mortels.
Mais comme disent d’autre, peut-être vaut-il mieux en rire qu’en pleurer : AAA ah ah ah !