Un des trop rares artistes francophones du festival, Karkwa a impressionné par sa performance électrique sur une des scènes principales du festival. Enchaînant les classiques et les pièces du dernier album, Les Chemins de Verre, les Montréalais ont démontré qu'ils savent captiver une foule. Le dynamisme du chanteur et guitariste, qui sautait sur scène et se promenait d'un bord à l'autre de la scène, a fait une grosse différence. Le groupe aurait par contre gagné à être programmé en soirée, où leur musique semble plus à son aise.
Extrait de l'article "Osheaga 2011: Samedi 30 juillet" dans "Les Rockers" le dimanche 31 juillet 2011