Torchwood // Saison 4. Episode 5. The Categories of Life.
Afin de répondre à la nouvelle "mort" et aux nouveaux problèmes que pose la surpopulation, les gouvernements décident de créer des endroits où l'on pourra contenir les malades sauf que c'est
pour… les brûler vivant. Seule réponse possible à la surpopulation, mais personne va être prévenu auparavant. C'est là que le Dr Vera Juarez va connaître une mort horrible dans les dernières
minutes de l'épisode. Je crois que c'est l'une des scènes les plus dures que j'ai pu voir de la série. En tout cas, toute l'émotion et l'horreur qui se lisait dans le regard du personnage c'était
unique. Un vrai moment que Jane Espenson a sue une nouvelle fois de plus dépeindre avec pas mal d'ingéniosité. D'ailleurs, je trouve que cette scénariste nous livre les meilleurs épisodes de la
saison pour le moment. Oui, fans de Russell T. Davies lapidez moi ! J'adore ce dernier, il est quand même le showrunner de cette saison mais voilà… Le style de Jane est imbattable finalement.
Donc le gouvernement décide de catégoriser les gens suivant plusieurs niveaux de "vie". D'un côté Gwen est de retour en Grande Bretagne pour sauver son père qui se faisait enlevé dans l'épisode
précédent. La série reprend donc enfin son droit sur le parallèle avec son pays d'origine. D'un côté il était temps et c'était pas vain. Bien que je n'ai pas trop vu la différence avec les
Etats-Unis tellement l'uniformisation des décors est flagrantes (sûrement pour éviter de trop changer l'atmosphère dans l'épisode en lui même). C'est un reproche que je peux faire. Rex va
profiter d'une petite visite au centre pour découvrir ce qu'ils y font et surtout… filmer le tout. Bon, inutile de dire que je vois mal cette vidéo arriver sur internet un jour quelconque, ce
serait trop tôt, il reste que 5 épisodes certes. Mais la série ne va pas "jump-the-shark".
Note : 8/10. En bref, un épisode à l'allure jouissive qui se termine en macabre révélation.