Magazine Cinéma

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

Par Callahan21

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

Un retour inhabituel sur une saga dans années 90 qui est tout bonnement unique.

Certains l’ont regardé étant petit, d’autres sont surement tombés dessus pendant les vacances de Noël (et ont certainement zappé direct). ET BIEN MOI, je l’ai téléchargé et j’ai passé toute une semaine à la regarder (il y a quand même 10 parties). Cette saga porte le nom de « La caverne de la rose d’or » (Fantagaro).

Et là, vous vous dites, « Wow putain, ça pète trop ! » …Et bien non. Vous pensiez que Twlight était l’histoire d’amour la plus niaise et la plus plate de tout les temps ? Alors (re)découvrez la fabuleuse histoire de la rencontre du beau et gentil prince Romualdo et cette bonnasse de princesse Fantagaro.
Si le titre ne vous dit rien, peut être que cette coupe de cheveux mythique et intemporelle (tu déconnes là?) vous rappellera quelque chose.

« Nan mais con d’Eliott, tu crois nous donner envie après un résumé pareil ? ».

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

"je vais m'lancer dans la chanson !"

Alors, oui, malgré un scenario plus qu’assommant, ce film possède quand même un intérêt. Mettons de côté la superbe mise en scène, les surprenantes interprétations d’acteurs et leurs doublages inoubliables et concentrons nous sur ce que ce film a de mieux à nous offrir… Une mine d’effets spéciaux à couper le souffle qui, je suis sur, ne laissera pas insensibles les amateurs de nanars.

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

"on est pas bien là ?" like a boss.

Non mais vraiment, c’est tout simplement un des films les plus merdiques que j’ai jamais vu, je n’ai d’ailleurs jamais autant ri.
Si vous voulez voir des cailloux qui parlent, des coupes de cheveux ridicules, des costumes qui rendent épileptiques, des blondes plus connes que la pire des connes et des princes qui préfèrent se suicider plutôt que de se savoir homo, l’univers de La caverne de la rose d’or n’attend plus que vous ! (dans l’esprit, ce film vous fera le même effet qu’après avoir vu cette image.)

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

"moi je suis courageuse, regarde ce que j'ose faire !" (vrai texte)

Donc, si vous n’avez rien à faire un soir, je vous conseille fortement de la télécharger cette merde (oui parce qu’acheter le coffret serait juste de la pure connerie). Mais seulement le premier film (les deux premières parties, si vous avez bien suivi), je laisse les suites sans intérêt aux clebards et aux sales hippies. Je vous invite ensuite à parcourir la toile à la recherche de forum de fans (oui, il y en a.), pour vous foutre de la gueule des quarantenaires qui disent continuer leur masturbation quotidienne en ayant en tête le corps frêle et juvenile du beau Romualdo (si toi aussi tu es parcouru d’un frisson suite à la lecture de cette phrase et aux images qu’elle engendre, je t’invite à tenter de l’oublier en allant prendre une douche, et en laisser couler l’eau, la tête dans les genoux, te balançant d’avant en arriére, en pleurant).

Etude d’un nanar : La caverne de la grosse daube

"non pas si près, l’éclat de la lame m'aveugle" (vrai texte)

Mais tu peux aussi m’aider à répondre à cette ultime question : Pourquoi appeler le film ‘la caverne de la rose d’or’, sachant que la fameuse caverne n’apparait que 10 min GRAND MAXIMUM dans le film, et qu’elle n’est absolument pas un passage important (ni intéressant d’ailleurs) ?

En cadeau, pour toi, quelques images en plus : ici, , et puis là, roh et puis ça aussi.

N’oublie pas de liker la page facebook de Golden Idol, pour avoir les nouveautés en direct.
(Et couvre toi bien, l’été est rude cette année.) Allez, bonne bourre.

Eliott


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Callahan21 1896 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines