Dégel et le PQ confondu

Malgré leur position comme défendeurs du gel des frais de scolarité au Québec, Mme Marois chef du Parti Québécois a annoncé le soutien de son parti pour un dégel proposé par le gouvernement libéral. Elle a appelé aussi pour une nouvelle contrat sociale avec les étudiants de la province, mais on se questionne comment est-ce qu'on peut établir une nouvelle contrat quand les parties ne font pas confiance entre-eux (les étudiants sont trahis par ce changement de position). Le PQ s'est représenté un parti de progrès social, de protection des groupes plus vulnérables, parlant de idéels nobles et l'importance de l'éducation, la santé, l'environnement, etc. Mais en fait, son but est simple: Pour diriger (un jour) le pays à indépendance. Ses priorités sont pas les étudiants, ni les aines, ni les travailleurs, sa priorité est l'indépendance, rien d'autre, donc le parti n'est pas chainé à aucune promise. Quand un parti croit qu'un action très simple (comme déclaration d'indépendance) peut résoudre tous les contentions et contradictions d'un société capitaliste, il n'est pas difficile pour comprendre leur position erratique.
Le parti se trahit avec ce changement rapide. Il aurait pu capitaliser sur le mépris du gouvernement vers les étudiants et les attirer au parti, et à sa cause souverainiste. La jeunesse est radicalisée, et le parti qui peut les représenter peut aussi gagner grandement des sections de la population jeunesse nouvellement attirée à la joue politique. Mais en fait ses trahisons plus récentes, ils ont perdu cette possibilité.