"Eau" secours....

     Là bas aussi on dirait le Sud.....

     Pourvu que la page soit pourvue de toilettes publiques!

   Sinon c'est pipi dans l'eau pour tout le monde

                 Pouah! c'est dégoutant....

En nombre. Écrasés de chaleur, plus de 100.000 touristes chinois se sont rués en masse, dimanche, sur les plages de la ville de Dalian, dans la province de Liaoning, dans le nord-est du pays. Difficile dans ces conditions de poser sa serviette ou d'aller se baigner sans marcher sur son voisin! " border="0" /> Écrasés de chaleur, plus de 100.000 touristes chinois se sont rués en masse, dimanche, sur les plages de la ville de Dalian, dans la province de Liaoning, dans le nord-est du pays. Difficile dans ces conditions de poser sa serviette ou d'aller se baigner sans marcher sur son voisin! (Wang Xizeng/Imaginechina) Ex aequo !    Pour ces deux là, c'est Hipipi dans l'eau! Ex aequo ! Les superlatifs manquent pour décrire ce qui s'est passé mardi à Shanghaï, lors des 14es championnats du monde de natation. Deux des meilleurs espoirs français, Camille Lacourt (26 ans) et Jérémy Stravius (23 ans), s'étaient mutuellement promis de faire aussi bien dans le 100 m dos qu'aux championnats d'Europe de l'an dernier : soit 1er et 2e . Mais ils ont fait encore mieux, en accomplissant l'incroyable : arriver premiers ensemble, au centième de seconde près, ce qui ne s'était jamais vu en natation depuis l'invention du chronomètre. Deux médailles d'or à la fois pour la France, alors qu'elle n'en avait jamais eu une seule : «C'est énorme», a commenté Camille Lacourt. Effectivement !" border="0" />  Les superlatifs manquent pour décrire ce qui s'est passé mardi à Shanghaï, lors des 14es championnats du monde de natation. Deux des meilleurs espoirs français, Camille Lacourt (26 ans) et Jérémy Stravius (23 ans), s'étaient mutuellement promis de faire aussi bien dans le 100 m dos qu'aux championnats d'Europe de l'an dernier : soit 1er et 2e . Mais ils ont fait encore mieux, en accomplissant l'incroyable : arriver premiers ensemble, au centième de seconde près, ce qui ne s'était jamais vu en natation depuis l'invention du chronomètre. Deux médailles d'or à la fois pour la France, alors qu'elle n'en avait jamais eu une seule : «C'est énorme», a commenté Camille Lacourt. Effectivement ! (Mark Rakston/AFP) Mois sacré. Du lever au coucher du soleil, même pas une goutte d'eau....                                    Canicule ou pas!

 Mois sacré. Depuis lundi, les Musulmans du monde entier ont commencé le ramadan. Cette fête, qui correspond au neuvième mois lunaire de l'année musulmane, rappelle la révélation du Coran au prophète Mahomet par l'archange Gabriel. Ce mois sacré constitue l'un des cinq piliers de l'islam, avec la profession de foi, la prière, l'aumône et le pèlerinage. Pendant ce temps de prière, les musulmans doivent s'abstenir de manger, de boire, de fumer et d'avoir des relations sexuelles du lever au coucher du soleil. La France compte 2,1 millions de «musulmans déclarés» de 18 à 50 ans, selon une enquête récente de l'Ined et de l'Insee. Quelque 71% d'entre eux observent le jeûne tous les jours de ce mois sacré de l'islam, selon un sondage Ifop paru lundi dans La Croix. " border="0" /> Mois sacré. Depuis lundi, les Musulmans du monde entier ont commencé le ramadan. Cette fête, qui correspond au neuvième mois lunaire de l'année musulmane, rappelle la révélation du Coran au prophète Mahomet par l'archange Gabriel. Ce mois sacré constitue l'un des cinq piliers de l'islam, avec la profession de foi, la prière, l'aumône et le pèlerinage. Pendant ce temps de prière, les musulmans doivent s'abstenir de manger, de boire, de fumer et d'avoir des relations sexuelles du lever au coucher du soleil. La France compte 2,1 millions de «musulmans déclarés» de 18 à 50 ans, selon une enquête récente de l'Ined et de l'Insee. Quelque 71% d'entre eux observent le jeûne tous les jours de ce mois sacré de l'islam, selon un sondage Ifop paru lundi dans La Croix. (Adek Berry/AFP)  S.O.S.          Au secours, moi j'ai besoin d'eau et de nourriture....
             Il n’a que 2 ans, il est sauvé, mais son regard trahit encore l’intensité des souffrances qu’il a endurées avant d’arriver enfin dans cet hôpital humanitaire, à la frontière entre le Kenya et la Somalie. Et ce bambin n’est qu’un parmi des centaines de milliers d’autres, tous aussi épuisés et affamés que lui, tous chassés de chez eux par la sécheresse et les combats qui ravagent l’ensemble de la corne de l’Afrique, depuis l’Ouganda jusqu’à la Somalie, en passant par l’Éthiopie, Djibouti et le Kenya. Sur 90 millions d’habitants, cette région en compterait au moins 11,5 millions – dont 2,2 millions d’enfants – qui mourront de faim ou de maladie s’ils ne sont pas rapidement secourus. (Rebecca Blackwell/AP/SIPA)