L’Edito : Horter coroner

Publié le 01 août 2011 par Levestiaire @levestiaire_net

 

Désarçonné par les images de Thierry Henry soulevant un trophée, notre rédacteur en chef a tranché : il part vagabonder dans SoHo, entre deux James Bond dans un motel.

Les héros sont de retour. Après les handballeurs, les handballeurs, les handballeurs et l’équipe de France féminine, les nageurs sont enfin des stars à leur tour. BFM était bien sûr à Roissy, Tout le sport aussi : tout le monde était là, et même si Stravius a démenti, Melanie Henique. On ne retient que ça, symbole de la cohésion de la nouvelle équipe de France : pas de problème Bernard, pas de problème Manaudou, pas de déception Agnel, Bousquet ou Duboscq à l’horizon.

Le foot à Lyon, c’est pareil : ça change sans changer. En attendant Maribor, Gonalons et Briand perdent les ballons, Cissokho n’y touche pas. En général Toulalan et Lloris empêchent les buts. Cette fois c’était Vercoutre, il n’y a aucun souci à se faire. En plus, « attention à Porto cette année en Ligue des Champions. Je ne sais pas s’ils vont tenir tout le match à ce rythme », ainsi que le pense Philippe Jeannol. Porto était tellement fort que Vercoutre l’a été encore plus. Jeannol, Gonalons, le défenseur qui donne le ballon de la victoire à Bastos, un amical en prime sur Canal un dimanche soir : la Ligue 1 sait se faire désirer. Le lendemain, Eurosport offrait Monaco-Boulogne ; le Vestiaire n’est peut-être pas le seul à y avoir jeté un œil. 0-0 bien sûr.

La question du moment reste donc : pourquoi pas le PSG ? Jean-Eudes Maurice a été le bourreau de Boca et l’espoir du club Loris Arnaud s’est rappelé au bon souvenir de ses formateurs, sept ans après. Avec Pastore c’est sûr, l’Emirates Cup ne serait pas revenue à New York. Pastore, 43 millions, Palerme. Et oui, New York.

Pendant ce temps-là, Serena Williams a repris le tennis. Il n’aura donc bientôt plus de place à consacrer ni au tennis féminin, ni à Walter Bartoli, ni à Sébastien Ogier.