Le rapport de la Cour des comptes sur le coût, et l'efficacité, de la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy déployée depuis l'adoption de sa loi d’orientation et de programmation (LOPSI) de 2002, révèle qu'il y a trois fois moins de caméras que ce qu'avait déclaré le ministère de l'Intérieur, et que les préfets, chargés d'encadrer la vidéosurveillance, mais également de tripler le nombre de caméras, se retrouvent donc à délivrer des autorisations à des systèmes de vidéoprotection... en infraction avec la loi.... Et en plus