Dans un article intitulé "Bing devient une distraction pour Microsoft", le New York Times explique que Microsoft a besoin de trouver un acheteur pour son activité de recherche en ligne.
La division qui abrite Bing a perdu 2,6 milliards de dollars dans la dernière année fiscale ce qui coûte très cher aux actionnaires. Si Microsoft venait à arrêter ce développement, cela mettrait de facto Google en position de quasi monopole, ce qui risque de ne pas plaire aux annonceurs qui n'auraient d'autres choix que Google pour promouvoir leurs produits...
il y a pourtant des acheteurs potentiels :
- Facebook travaille déjà avec Bing. Il pourrait être intéressé à acheter le site, il serait sans doute possible d'utiliser ses données pour mieux ajuster les résultats de recherche. Ce serait une arme puissante dans sa lutte avec Google, qui a récemment introduit un réseau rival social, Google +.
- Apple pourrait être intéressé, étant donné la croissance de ses ambitions en ligne.
la position d'éternel second de Bing, TRÈS loin derrière Google (source Xiti) ne devrait d'ailleurs pas jouer en la faveur du moteur de recherche estampillé Microsoft :
- Google : 98%
- Bing : 1,1%
- Yahoo : 0,3%
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