Le camp a pris -enfin- fin.
Liquidés.
Décolorés.
Et ravis.
Quoique très endormis (la faute à qui? A la pluie, pardi !)
Des souvenirs plein le sac (ados) et des effets fleurant la macération frisquette d'un mois de juillet résolûment....capricieux.
Pour l'heure sont encore un peu aphones...
Pas grave.
Et propres.
Appréciable.
Un peu perdus en cette famille recouvrée.
Le mois d'août déliera les langues et le soleil d'une radieuse nostalgie.
Dotera les chefs -admirables. Chapeau! - d'un immense MERCI.
"Et des chefs, comme ça, y'en n' a pas, y'en n'a pas, ..faut le faire"
Apolline, Les pensées (de fin de) quand camp