Sur Facebook, Patrick Ducocq, malgré un peu de langue de bois ( "anti israélisme primaire") et une façon inacceptable de mettre les "faucons de guerre" dos à dos en assimilant les opprimés aux oppresseurs nous parle des manifestations "historiques" (voir: http://actualutte.info/?p=4967) en israël... On y retrouve la mode "américaine" libérale, le probllàme du logement et des remises en question internes au libéralisme. Tel Aviv demeure une banlieue ricue de Washington, avec un quota de pauvres qui suffit au libéralisme. et les oppositions sont bien limitées. On en est là aussi en France. Les pays riches s'arrangent toujours et la misère leur est nécessaire. Ainsi que les guerres coloniales ou néo-coloniales: bousiller les pauvres d'autres nations est indispensable à leur équilibre..Mais pas trop vite, il faut que le commerce de guerre fonctionne.
Lente agonie, parfois, des pauvres dont le malheur est de ne pas être occidentaux.
ET bien sûr, le problème de l'immobilier: plus le logement est cher, plus on en profite et plus on crée de pauvres nécessaires.
Le problème est politique et l'on ne peut espérer une quelconque amélioration so l'on ne remet pas en question l'oppression des peuples pauvres. On ne peut que replâtrer. Faire durer les crises, ce qui est l'équilibre même du monde libéral: il n'y a pas de crise, c'est le fonctionnement "normal" du monde riche et tout va bien comme ça...pour les riches et les petits nantis, comme pour les petits-bourgeois de gauche prétendue qui ne pourrait pas vivre autrement, mais protestent et s'indignent avec un bonne conscience insultante pour les démunis.
Le plus judicieux est d'acheter des immeubles, des tarrains dans les pays en guerre.certes, il faut attendre, mais les reconstructions sont juteuse. A Sarajevo, le bâtiment va... Et les petits malins qui ont acheté en temps de guerre ont gagné plein de fric! A Bagdad, ça se fait beaucoup... Mais attention, ça va monter!