LuneDeTrіstesse : pоème Lune de Trіstesse, une pⱨіlоsоpⱨème.

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Lune de Tristesse, une philosophème.

Lune de Tristesse, une philosophème.

Pourquoi philosophème ? Bien que ça rime avec blasphème, mes pensées le seront peut-être… Selon critiques ou paroles qui auront lieu d ‘être.

En chacun d'entre nous règne une fleur de conscience. La mienne se nomme Philosophème. Ma conscience raconte par absence, par présence de l‘inconscient….

Le blanc et le jaune de l'oeuf ne se confondent pas. Pourtant ils ne font qu'un.

Je me perds dans mes réflexions. Non, je pense pas…

A travers mes maux, je philosophe sur ces mots.

A travers mes vers, je m'évade dans ma Solitude.

Je ne suis pas poétesse. Je ne suis pas philosophe. Je suis juste moi.

Nous nous ne connaissons pas. Ici bas, l'encre, que je dépose, vous parlera de la face cachée d'une Lune.

Bienvenue dans un endroit de ma galaxie…

Je demeure sur une Lune. La mélancolie s'ambiance à la tristesse. C'est le petit bonheur du côté sombre-obscur. La poussière demeure dans les petits riens de l'existence. Le néant n'a pas sa place. Les horizons de solitudes changent sans cesse. Le Ciel est parsemé d'étoiles tantôt nébuleuses, tantôt fileuses. Comme des Pics d'inspirations, les montagnes d'illusions naissent et disparaissent comme des châteaux de cartes. Le vent souffle telle une brise, sème le zéphyr, s'emporte dans les bourrasques, balaye de ces tempêtes et de ces cyclones... puis revient au calme plat…

Des flots de larmes se versent dans les lacs d'amertumes, de regrets, ... Les soucis tapissent les coins de verdures cachés par les buissons de roses. Les roseaux dansent le long des ruisseaux. Des nuages s'animent en paréidolie puis s'en vont. Un arbre cache la forêt.

Des voix d'ailleurs, des chants d'autrefois, des chansons d'aujourd'hui déposent un voile musical dans la tête... puis trois petits tours et s'en vont… Seul le souvenir reste.

A la prise d'une plume, je reviens sur terre. Sur une feuille de papier, j'écris l'incroyable voyage à travers quelques lignes clair-nature ou sombre-obscur.

En attendant, je me plonge dans les livres aux odeurs du passé. Et quand le temps me dit, je vais prendre une bouffée d'air pur sur les routes toutes faites.

Vous ne savez pas qui je suis. Je ne sais qui vous êtes. Pourtant à travers mes maux, je vous écris ma pensée.

Ainsi je vous accueille sur ces lointains horizons, nouvelles terres… sur les Mirages de ma Solitude.

En tout respect.

Postscriptum

Philosophème...