Libérons les poêmes
Que les poèmes soit libérés, s'envolent loin des lettres
Tracer par les traits pesant d'un clavier binaire.
Le son des émois glisses sur le présent des êtres
Pour qu'ils soit conviés loin du noir autoritaire,
Je suis un poète muet car j'ai peur d'un clavier,
Celui qui ferme mes idées dans le noir d'une police.
Je veux porter dans ma voix l'expression du présent,
D'une liberté d'altérer le sens des mots passés.
La poésie doit être chantée, pouvoir briller
Comme le son blanc des murmures d'un poète parleur,
Etre l'image d'une époque ou ce mélange sans heurt ,
Le future vibrant des vielles idées titillées.
Je suis un poète sans voix car j'ai peur d'un écran,
Celui qui mur mes penser dans le blanc d'un point doc.
Je veux transmettre oralement les sentiments futures,
D'une liberté d'annuler le sens des rimes passés .
Ceux poèmes sera mon dernier. Ma main l'écrit,
Sans penser à tous ce temps ou il reste proscrit
Sur le gris sans saveur de cette page blanche et noire.
La toile d'internet la piégée de son mouroir.
Je suis un poète aphone car j'ai peur d'internet,
Celui qui clos mes émois dans le gris d'un serveur.
Je veux donnés vocalement l'émotion hors du temps,
D'une liberté d'abolir le sens des vers passés.