Dernière initiative en date, la semaine dernière, à Paris même : la jungle du milieu du bureau. Composée de différents palmacées (palmiers et leurs cousins), moraceae (ficus et leurs cousins) et autres cactaceae (cactus et leurs cousins à épines), notre jungle du milieu du bureau se révèle efficace pour embrasser plusieurs enjeux à la fois : compenser efficacement les émissions de CO2 provoquées par l'incessante respiration de nos ressources humaines ; accroître le taux d'oxygène dans l'air, ce qui a déjà engendré, en moins d'une semaine et en plein mois de juillet un saut de 14% de notre productivité (au grand plaisir de nos actionnaires); enfin, assurer par skype interposé nos nombreux clients brésiliens que nous disposons bien d'une antenne locale près de chez eux.
D'abord décriée par des actionnaires soucieux de l'image 'corporate' que se doit de refléter les locaux d'une entreprise, la jungle du milieu du bureau se révèle une vraie arme de compétitivité économique.