
J'ai déjà aimé Martin Scorsese.
L'aime encore beaucoup je vous dis plus loin, où.
L'amour pour Marty:

J'avais beaucoup aimé Alice Doesn't Live Here Anymore mais Taxi Driver allait jeter tout le monde par terre. Même Ronald Reagan (ooooooouh humour immoral...). Et Raging Bull allait être tout aussi fantastique.
Dans les années 80, les dents de scie. The King of Comedy? non, After Hours? oui. The Color of Money? oui, New York Stories? non. The Last Temptation of Christ? OUI.
Années 90:Goodfellas? Son chef d'oeuvre. Cape Fear? remake non nécéssaire. The Age of Innocence? Pas mal du tout. Mais tout le reste tombe dans la deuxième catégorie.

Le Marty négligeable/désolant/frustrant:


Le troisième Marty m'intéresse beaucoup. Comme moi, Scorsese est un mélomane. Plus Rolling Stones que Beatles (quoiqu'admirant grandement les deux). Le Scorsese documentariste est fort agréable car il couvre souvent le sujet de la musique. Il a tourné 14 documentaires et un 15ème sur George Harrison est en préparation. Parmi ses (Très intéressants) documentaires The Last Waltz sur le dernier concert du groupe The Band, Italianamerican sur son héritage culturel, un autre sur les Rolling Stones. Scorsese a aussi à coeur le cinéma, les cinémathèques, le cinéma des autres et la conservation des films. Il est très investi dans toutes ses choses. C'est un réèl passionné de son art. Il excelle d'ailleurs dans ce métier de "passeur de l'art". Vocation auquelle ce blogue aspire à l'occasion. Scorsese est un très très bon ambassadeur de la mémoire du cinéma.

Pleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeease...
C'est comme avoir demandé à Riopelle de faire un graphique sur ordinateur.
Who's that knocking at my door?
Pas ce Scorsese-là, non merci.