François Fillon doit compter avec deux indicateurs redoutables : la dette et le chômage.
La dette limite les promesses et le chômage fait exploser les mécontentements.
La cohabitation des deux est terrible pour tout pouvoir sortant.
Le budget 2012 devient donc très périlleux dans de telles circonstances.
La chance du pouvoir, c'est que sur ces deux terrains le PS est en panne de crédibilité.
Par conséquent, il est probable que le Gouvernement va surtout "jouer en contre" pour détourner l'attention de l'opinion sur les dangers du programme du PS et présenter un budget 2012 le plus anodin possible.
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