Examen du modèle OSCAR (2)

Publié le 27 juillet 2011 par 000111aaa

Continuant d’ aligner les objections d’un de mes collègues sur la pertinence des prémisses du modèle   OSCAR je m’ imagine m’en sortir par la réponse suivante : «  Je crois avoir compris pourquoi tu m’objectes qu’il s’agit seulement d’ une proposition à examiner physiquement et non pas seulement mathématiquement …..   D’ abord nul ne peut prétendre connaître les conditions initiales de mise «  en marche »  d’un premier big bang et on en ignore en particulier les   caractéristiques d’échelle….. C’est cela ? »

« Oh !s’ il n y avait que cela !? Mais il est vrai que l’ on ignore totalement de quoi l’ on part quand on parle d’ un big bang ou d’ un big bounce de BOJOWALD( = grand rebond ) et collègues  …Faut il atteindre des valeurs de densité critique de l’énergie ( ou de la matiére ) découlant d une taille –critique d’ une «  bulle d’ espace-temps » ayant atteint l’incompressibilité maximale …. ?Faut il par exemple (et autrement ) adhérer au modèle de pré big bang de VENEZIANO et GASPERINI   comme tu nous l’ avais proposé jadis ? Ou à la théorie des instantons ou au modèle   de   la théorie tachyonique de ANDREI LINDE et GARY FELDER( voir photo ) ???

(on voit l effet de l orage tachyonique sur la 2 eme photo )!

Mais surtout peut on émettre une hypothèse sur le type d’énergie que l’ on trouve dans l’ espace-temps au moment de ce premier « déclanchement »? » …ou de   ce énième ?

Je veux bien m’accorder sur ce dernier sujet avec mon collègue SCRONIEUNIEU ….On ne sait expérimentalement RIEN du type d’énergie présent à ce moment là , DANS LE VIDE INITIAL PRIMAIRE d un tout premier big bang conceptuel ….Cette énergie est -elle d’échelle macroscopique, ? Quantique ?Sub-quantique ? Positive?Négative ? VOIR MES PHOTOS CI DESSUS  ... D’ ou vient elle ?… Je dois rappeler à mon auteur (D.M) que diverses opinions ( plutôt que des théories ) ont été exprimées …..L’ existence de bosons de caractéristiques variables est   certes possible et cela d autant plus si l’ hypothèse d’ un univers avec big bang soit cyclique soit irrégulièrement rebondissant est proposable ……Pourquoi ne pas alors imaginer toutes sortes de combinaisons possibles simplement à l’échelle quantique à base de quarks et de plasmas hyperdenses etc. ?….Et je vous fais grâce , pour l instant ,des conditions de redémarrage d’ un univers branesque ekpyrotique …

Quoiqu il en soit , je veux bien imaginer , dans ce vide initial primaire , comme l’ auteur   ( D.M) nous le propose , l hypothèse d’ un enchevêtrement lâche d’ « oscillateurs subquantiques non connexes continus et anharmoniques » (=OSCARS) ,chacun de groupe de symétrie C2 ( en somme des sortes de cordes de dimension 1D ) , mais en fait j’ ignore à quelles règles de composition ces oscillateurs pourraient obéir ……   Je sais bien que GABRIEL LA FRENIERE   dont je vous avais largement exposé les théories il y a 4 ans ( «  La matiére n’ existe pas , tout est ondes ! ») se sert comme DOMINIQUE MAREAU des règles de décomposition – recomposition de HUYGENS - FRESNEL sur des vibrations de caractère électromagnétique   , mais aucune preuve expérimentale n’ existe pour vérifier qu’elles s appliqueraient à ces OSCARS …. J’ en veux pour preuve l exemple d OSCAR   que j’avais imaginé et proposé à D.M dans un de mes articles précédents …REGARDEZ BIEN MA FIGURE :C EST BIEN UN OSCAR AUSSI !

- Une oscillation   d’ une forme d’énergie en mouvement ,mais que je ne peux préciser ,   parcourt un segment ouvert d’espace –temps depuis un point X jusqu’ à un point Y , donc est non connexe topologiquement .

-L anharmonicité de l’état vibratoire de cette énergie   peut être garantie par diverses sortes de recettes mathématiques…. et comme j’ en raffole je vais vous proposer une méthode de génération de nombres aléatoire dite «  à gain nul « ( le «  mécanisme » vous propose une suite de nombres tantôt positifs tantôt négatifs qui définiront l intensité maximale I ( max) de la vibration et dont la somme est égale à zéro , sommée sur XY …..( pour les matheux c est l’ intégrale des deux courbes positives et négatives entre X et Y. N’oubliez pas d’où je viens et ce que la neutronique des réacteurs doit à ces méthodes et à celle de MONTE-CARLO !)

- Je choisis l’ échelle de la valeur absolue maximale possible de ces nombres aléatoires de telle manière qu’elle ne dépasse   jamais une taille que je pourrai donc définir comme subquantique   a coup sur .

- reste le groupe de symétrie c2 ; mon OSCAR   ne présente un axe c2 que dans la mesure ou ∫ I + ( t) dt = ∫ I (t) dt , c est a dire global sur XY

QUOIQU IL EN SOIT , je sais que les régles de HUYGENS   ne sont pas applicables aux CORDES 3D des théories actuellement proposées , comme les théoriciens l’ ont démontré   ( voir mes articles anciens sur l effet « pantalon »)

Reste à savoir si les hypothèses   des phases suivantes revendiquées par notre auteur ( D.M) sont recevables :

-1 : Bosons-ocillants-non-connexes-1D => une partie forme, par synchronisation (Huygens), un condensat de Bose Einstein (BEC)

-2 ce dernier est instable et de symétrie sphérique => l'instabilité provoque une mitose en n BEC-fils enchevêtrés formant le vide en expansion.

A suivre