Un comble, UBS n’arrive même plus à faire du profit de façon sérieuse. Malgré ses bataillons de stars qu’elle paie à coups de millions.
Et pourtant ce n’est pas faute d’avoir attaqué l’euro et joué la hausse du franc suisse, devise de cette « mère-patrie » envers laquelle elle n’est et ne sera jamais reconnaissante de lui avoir sauvé la vie.
Le grand Grübel estime même ne devoir partir que quand on aura trouvé meilleur que lui. Manque pas d’air, le triste ministre du culte bancaire.
Mais ce qui est le plus amusant, ce sont les employés de banque eux-mêmes, soudain inquiets pour leur place douillette. Ils râlent (enfin) contre les traders, dont les salaires de folie sont redevenus monnaie courante, malgré les promesses de toutes parts.
Patience, dans quelques mois ils vont tous s’encarter au PS si ça continue.