Voilà qu’on s’inquiète à Berne (très à retardement) de la destination finale de certaines armes suisses qui finissent étrangement à d’autres endroits que ce qui était prévu.
Et pour calmer cette inquiétude, on envoie au Qatar une délégation du SECO, organisme « compétent » pour délivrer des autorisations dans ce domaine
Utiliser le SECO pour cette mission est aussi intelligent que de la confier à un congrès d’aide-ménagères, ces dernières n’étant en rien déméritantes, mais simplement peu adaptées à ce genre de business.