Hasard des lectures d’été…
Ma femme à la chevelure de feu de bois
(André Breton)
Chevelure
flammes ingénues qui léchez un cœur insolite
la forêt se souviendra de l’eau et de l’aubier
(Aimé Césaire)
Une femme qui se peigne remplit de son geste le ciel
(Auguste Rodin, cité par Jean-Christophe Bailly)