L'effet Fukushima saura t-il s'affanchir de la "montée de l'insignifiance" dont parlait le regretté Castoriadis. C'est à souhaiter, tant les nouvelles après cinq mois après, sont préoccupantes.
Dans cette plénitude de l'été, propice aux méditations, je propose la fameuse phrase d'Aristote :
un citoyen est celui qui est "capable de gouverner et d'être gouverné".