L'amour presque Parfait
Un jour ou je traînais mon apathique Rétroviseur,
Il m'est arrivé de te revoir, ma courtisée,
Dont le passant chagrin de ton départ affolé,
M'a été désabusé par cette altruiste peur, mon coeur.
Cette mélancolie me mit en mémoire,
Comme dans un magnifique miroir,
Ta tête, ton geste, ton air qui harcèlent mon cœur,
Qui Jouent en moi comme un bouquet de fleurs.
Les retentissantes couleurs, dont tu constelles mon intérieur,
Folâtrent pour atteindre ma vigueur adulée,
Qui est encore tienne, vainqueur de mon bonheur,
Et éblouit par la clarté de notre santé.
Ces habits, symboles de cette corrélation,
Mettent en moi la passion de notre Relation,
Et la crainte de te reconsidérer, par tendre douceur ;
Tout cela décidé par ta délicate et attentive chaleur.